Table des matières
L’équipement photo optique
Nikon D5300
- Capteur APS-C : intéressant pour l’animalier et l’approche (“crop factor” de 1.5) ;
- WIFI : pratique pour le partage de photo ;
- GPS ;
- Intervallomètre inclus logiciellement ;
- Possibilité de dissocier l’autofocus de la mesure de lumière ;
- L’écran orientable qui me permet de le protéger en randonnée car toujours en position fermée.
- Construction un peu légère surtout avec un objectif lourd ;
- Le mode rafale largement insuffisant (je veux le D500 !!!).
Sigma 17-50 f/2.8 DC OS HSM EX
- Grande ouverture constante de 17mm à 50mm ;
- Utilisable pour la photo de « tous les jours », voire plus comme la photo de la Voie Lactée ;
- Pas trop lourd et bien construit.
- Un autofocus pas encore assez véloce (surtout quand on a une jeune enfant !).
Sigma 105 f/2.8 DC OS HSM EX Macro
- Rapport 1:1 : 1cm réel = 1cm sur le capteur ;
- Construction solide ;
- Piqué excellent dès la pleine ouverture ;
- Grande ouverture pour des flous superbes et l’isolation du sujet ;
- Possibilité de l’utiliser dans le portrait grâce à son très bon piqué et à sa grande ouverture intrinsèque ;
- Autofocus très bon mais pour faire de la macro, il est recommandé de faire la mise au point manuellement.
- Plus on se rapproche du rapport de grandissement 1:1, plus la valeur d’ouverture maximale diminue … ainsi à 1:1, ce n’est plus f/2.8 mais f/5.6. Ce n’est pas forcément très grave mais il faut le savoir ;
- Pare-soleil très long que je ne mets, de ce fait, jamais pour ainsi éviter d’être trop prêt des insectes pris en photo.
Sigma 150-600 f5-6.3 DG OS HSM Contemporary
- Un intervalle de longueurs focales très intéressantes avec un maximum équivalent à 900mm !
- Bon piqué dès la pleine ouverture ;
- Un poids raisonnable à la vue de la taille de la bête ;
- Une construction solide même si j’ai de suite protégé ce bel engin avec du néoprène pour éviter les rayures et les salissures ;
- Un autofocus surprenant de rapidité ;
- Une stabilisation au top aussi. Il m’est arrivé de réussir des clichés au 60ème de seconde à main levée !
- La possibilité de paramétrer de mode “Custom” très utile dans le cas d’affûts en contraignant l’autofocus entre 5m et 10m par exemple.
- Très faible ouverture mais c’est le jeu car pour le même prix, au mieux, il n’est possible que d’avoir un 300mm ouvrant à f/4 ;
- L’achat du dock Sigma quasi obligatoire pour les micro-réglages. Ces derniers sont pénibles au possible surtout quand il s’agit de corriger l’autofocus.
Tokina 11-20 f/2.8 ATX PRO
Depuis mon enfance, je suis fasciné par les étoiles et l’Univers. Quand la météo le permet, j’aime faire des photographies de paysage nocturne. J’ai donc complété mon équipement photo avec cet objectif pour en réaliser et voici ses qualités :
- Objectif lumineux ;
- Ouverture constante à pleine ouverture de f/2.8 sur toute la gamme de focales ;
- Bon piqué même sur les bords à pleine ouverture ;
- Le zoom de 11 à 20mm. Il n’y a donc pas de « trous » de focales avec le Sigma 17-50 présenté plus haut.
Par contre :
- J’aimerai que cela soit plus lumineux. Tous les photons sont importants en photographie nocturne 😉 ;
- J’aurai aimé avoir un objectif sans autofocus pour faire baisser le prix. En effet, avec de telles focales, la zone de netteté est toujours très grande !
L’équipement photo accessoire
Les trépieds
Rollei C5i
Devant les temps de pose nécessaire aux photographies de paysage nocturne, un trépied est obligatoire.
J’ai posé mon dévolu sur ce modèle car il possède :
- Un rapport qualité-prix très intéressant ;
- Une légèreté car en aluminium ;
- Une taille très petite une fois replié tout en pouvant être très grand en utilisation ;
- Une colonne centrale réversible qui peut être intéressante en macro ;
- Un monopode intégré ;
- Un niveau à bulle intégré à la rotule.
Pour l’instant, je ne lui ai pas vu d’inconvénients ! Pour en savoir plus sur la réalisation de photographies nocturnes, n’hésitez pas à lire cet article.
Manfrotto MTPIXIEVO
Suite à une vidéo de la chaîne Mon Petit Reflex qui présentait ce petit trépied, j’avais trouvé le concept très intéressant pour la macrophotographie. En effet, dans le cadre de la photographie de champignons par exemple, il est utile d’avoir un trépied car ils ont tendance à pousser dans des milieux sombres.
Je trouve à ce trépied les avantages suivants :
- Sa compacité et sa légèreté qui permettent de l’emporter partout ;
- Les nombreux réglages possibles des pieds et de la rotule ;
- Le blocage très facile par une molette du reflex ;
- La qualité Manfrotto.
Mais il présente quelques désavantages :
- Sa légèreté qui oblige à positionner un équipement léger. Ainsi le reflex couplé au Sigma 105 macro est la limite supérieure. Dans certaines positions, l’ensemble est déjà instable ;
- Malgré sa petite taille, il ne permet pas de positionner l’appareil photo au ras du sol.
Une télécommande
Quand l’appareil photo est vissé sur un trépied, il est préférable d’utiliser une télécommande. En effet, l’utilisation d’un trépied permet une stabilité à toute épreuve, alors autant pousser le truc jusqu’au bout. La télécommande permet de ne pas toucher le reflex lors de la prise de la photo. Ainsi, l’ensemble ne bouge pas en appuyant sur le déclencheur. Dans ce but, j’utilise une réplique de la télécommande Nikon dont le prix est vingt fois moins cher et qui fonctionne très bien !
Si vous avez des questions concernant cet équipement photo, n’hésitez pas à me contacter ou à laisser un commentaire plus bas, je me ferai un plaisir de vous répondre 🙂
8 commentaires sur “Mon équipement photo”
M’interessant particulierement au sujet, je vous remercie pour ces excellentes infos ! Bonne continuation
Bonjour, je suis heureux d’avoir pu vous informer 🙂 Bonne journée !