A chacun son Everest : pour nous autres, c’est la perspective des neiges éternelles et d’un ciel sans fin. Le genou à terre, nous pouvons imaginer quel peut bien être l’Everest d’une fourmi, d’une araignée ou encore ici, d’un charançon.
Alors que ce dernier était posé sur ce pétale, encore tout engourdi par la fraicheur matinale, quelle merveilleuse vue doit-il avoir sous ses gros yeux ténébreux ! Une vue qui nous est inaccessible mais que nous pouvons tout à fait imaginer 🙂